Elle s’appelle Emily Richmond, elle vient de Los Angeles, et elle mène la vie des grands marins depuis plusieurs années déjà, seule sur son voilier.
Le magazine « IndefinitelyWild » a réussi à arraisonner la jeune femme au niveau de Bornéo, le temps d’une interview. Emily y explique en toute simplicité avoir quitté la Californie il y a cinq ans, être passée au large du Mexique, du Salvador, du Costa Rica, du Panama, puis avoir mis le cap vers les Galapagos, l’île de Pâques et l’île de Pitcairn « une île de fou au milieu de l’océan, accessible uniquement par bateau privé où il y a plein de gens vraiment fous ».
Ensuite, ce fut Samoa, la Nouvelle-Guinée, etc. Son prochain cap sera le Sri Lanka, puis l’Afrique de l’Est, « où j’ai l’intention de passer quelques années ». Pourquoi elle fait ça ? « Pour la romance. Tout sur la voile autour du monde me semblait logique, beau et intelligent. […] C’est un énorme projet, mais ça ne coûte pas si cher, on voyage avec le vent. Aussi, on peut accéder à des endroits inaccessibles autrement ». Bon vent à elle.